Étape 3 : Monténégro

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A 2 km de la frontière avant d’arriver au Monténégo, on a eu 2h de bouchons quasi à l’arrêt avec 36° à l’extérieur de 12h à 14h (heureusement on avait de quoi boire et manger). Notre forfait mobile ne couvrant pas ce pays, on a pris une eSIM Europe avec l’application Airalo. Avant de souscrire vérifiez que votre smartphone est compatible eSIM. Pour les offres, il uy a par exemple 1 Go pour 5$ pour 7 jours ou 5 Go pour 20$ pendant 30 jours. Elle nous sera utile dans d’autres pays comme l’Albanie et la Turquie.

Bien que le Monténégro soit hors UE, la monnaie utilisée est l’Euro.

Kotor

Nous avons logés à Kotor dans appartement avec vue sur la belle baie de Kotor. La plage à 2 min à pied était bétonné et à flan de falaise : il y avait peu de places donc les gens sont très serrés les uns aux autres, l’eau était claire mais avec beaucoup d’algues. On ne s’y est baigné que le temps de se rafraîchir avec la route et surtout pour admirer le beau paysage avec les montagnes tout autour.

En soirée, on est allé visiter la vieille ville de Kotor. Une très belle vieille ville, avec une ambiance typée avec des musiciens. Il y a de nombreux touristes mais les ruelles ne sont pas bondées donc on peut se balader tranquillement. La vieille ville étant fortifié, il existe de nombreuses portes pour y accéder (au niveau du port et une côté ville). Kotor c’est la ville des chats. Il y en a de partout : des chats, des chatons, il y a même un distributeur de croquettes et d’eau mis à disposition par la municipalité et des magasins de décos et souvenirs dédiés aux chats. La vieille ville regorge de bars, restaurants, glaciers, magasins de souvenirs : le tout en déambulant de jolies ruelles. Il y règne un sentiment de sécurité et de dolce vita à l’italienne.

Le Gyros est un plat de restauration rapide dérivé du kebab qu’on peut connaitre. De la viande de poulet, avec des frites et plein de sauces dans un pain pita.

Une boucherie (Steak barbecue House Tanjga) proposait aussi un concept original : on choisit sa viande sur l’étal et ils la font cuire au barbecue et on peut emporter le plat. On ne l’a pas testé car il y avait vraiment beaucoup de monde.

Question parking on s’est garé sur un parking maritime. La barrière était ouverte et à priori donc gratuit mais un monsieur à l’entrée du parking demandait 2 euros pour le paiement du parking pour la soirée. Il s’est avéré à notre retour qu’il n’était plus là ainsi que le lendemain donc il avait juste trouvé le bon filon pour se faire un peu d’argent avec les touristes. Pour les amateurs de café devant ce parking il y a un distributeur de café automatique Lavazza plutôt très bon. Juste avant ce parking il y a un autre parking payant et surveillé avec une personne qui gère la barrière.

Situé sur la colline qui surplombe la ville de Kotor, il y a le fort Saint-Jean (il est possible d’y monter avec 1350 marches, vu la chaleur, j’avoue qu’on n’a pas tenté).

En nous rendant à Perast le lendemain, lors d’une pause spot, une belle rencontre fortuite avec un jeune couple de français (il n’y en a pas beaucoup au Monténégro) qui s’apprêtait à faire du kayak. Ils faisaient également un roadtrip donc on a échangé sur nos destinations respectives et les lieux qui nous ont marqués. Ils ont bien évidemment pris la pose sur le fauteuil.

Perast

Une belle découverte que ce joli petit village de Perast proche de Kotor (25 min en voiture). Par contre le stationnement gratuit est compliqué car les places sont peu nombreuses (on est arrivé là-bas à 10h30). De jolies petites ruelles où se perdre, et on a réussi à trouver une très belle crique où se baigner (possibilité d’y accéder via le restaurant « Pirate Bar » situé vers un parking payant) : juste après les transats privés du restaurant.
Belle balade sur le port ensuite. Par contre, on a été déçu du restaurant Orak Bronza Konoba qui nous ont fait attendre 30 minutes pour 4 frites à emporter à peine cuite (au lieu des 10 min). Le serveur n’était pas très sympa et nos frites étaient prêtes depuis longtemps mais ils nous ont soi-disant « oubliés » alors qu’ils sont passés devant nous de nombreuses fois en voyant qu’on attendait en pleine chaleur.

Après avoir faire le plein de burek à la pomme de terre et au fromage dans la boulangerie en bas de notre appartement (pour les bonnes viennoiseries, on attendra le retour en France), on reprend la route (ça roulait au pas jusqu’à la frontière) direction l’Albanie …