Election de Miss Beaujolais 2024Election de Miss Beaujolais 2024

Ombeline Chevalier, 19 ans et originaire de Villefranche s/Saône a été élue Miss Beaujolais 2024. Retour sur l’élection qui a eu lieu le 10 mars à salle la Pirogue de Saint Georges de Reneins.
Merci à Chantal Ledent, présidente du Comité qui m’invite chaque année à participer à l’élection de Miss Beaujolais.
PS : Si vous utilisez mes photos, merci de garder ma signature !

Turquie – Infos pratiques et généralitésTurquie – Infos pratiques et généralités

Frontière, centralisation des données

En Turquie, même fuseau horaire qu’en Grèce donc + 1h de plus par rapport à la France. On est arrivé le matin à la frontière donc peu de voitures. Attention à ne pas arriver l’après-midi en même temps que les nombreux turcs qui arrivent en bâteau à 10h à Igoumenista. Si vous voyagez avec une carte d’identité française, vérifiez bien que la date de validité indiqué au dos n’est dépassée. Les cartes d’identité avec une date dépassée, sont encore valides 5 ans en France. Par contre, la Turquie n’accepte pas les CNI avec une date expirée, même de quelques semaine. Il faut savoir que le passeport est exigé pour le conducteur du véhicule afin d’inscrire la voiture. La durée du séjour ne doit pas dépasser 3 mois.

Toujours au niveau de la vérification de l’identité chaque passager du véhicule devra présenter son visage devant une caméra. Dans le même ordre d’idée à chaque fois que vous vous arrêterez pour prendre de l’essence, le pompiste note votre plaque d’immatriculation sur un système automatisé. Au niveau des autoroutes, certaines sont sans paiement direct, il y a détection automatique de la plaque et après il faut aller payer soit dans une poste (PTT) soit lors de votre retour à la frontière (de la même manière si vous avez des amendes, etc. à la frontière à votre retour ils auront l’information et vous feront payés vos dûs. Tout est centralisé. Pour ce qui est des parcmètres ne les cherchez pas, c’est une personne qui fait office de parcmètre, c’est auprès de cette personne qu’il faudra aller payer le stationnement (vous la reconnaitrez à son badge).

Monnaie

Concernant la monnaie, en Turquie ils utilisent la lire turque (TL). 1 euros c’est environ 29,5 TL (taux de change en juillet 2023).
Si vous faites du change vous serez sans doute surpris par la liasse de billets que vous aurez en main contre 2 billets de 50 euros : ceci est dû à la perte de la valeur de la monnaie et à l’inflation. Le plus gros billet étant le 200 TL (6,75€). Il faut s’y habituer mais c’est très perturbant de donner un billet de 100 TL pour payer des glaces et il faut avoir de la place dans le sac à main si vous faites beaucoup de change d’un coup.
Les locaux m’expliquaient que l’inflation est telle que personne ne garde de grosses sommes d’argent en TL à la banque, ils l’échangent contre des dollars ou achètent de l’or qui lui ne perd pas de valeur.

A noter que lorsque vous faites du change dans une banque il faut justifier de son identité. Dans certaines villes les banques n’accepteront pas d’échanger vos devises étrangères si vous n’avez pas de compte en banque chez eux, il vous faudra alors vous rendre dans un bureau de change ou chez un bijoutier.

Circulation

Concernant la circulation armez-vous de courage car les règles que vous connaissez en France sont loin d’être appliqués dans le pays. Ne serais-ce que sur l’autoroute la plupart des véhicules roulent sur la voie du milieu sans jamais se rabattre sur celle de droite et rare sont ceux qui mettent le clignotant ou laisse la priorité aux piétons en ville. Au niveau des ronds-points vous pouvez vous retrouver à laisser la priorité une fois entré dans le rond-point car c’est toujours la route principale qui est prioritaire et non le premier entré dans le rond-point. Pour avoir discuté avec des locaux de cette circulation difficile, ils nous expliquaient que pour passer le permis c’était très simple, il n’y a pas d’heures de conduites minimum à avoir et l’examen avant avait lieu sur un circuit fermé (donc sans rentrer dans la circulation). Récemment cela a a changé mais le parcours en ville est très court. Une jeune femme nous expliquait qu’elle avait eu le permis facilement qu’elle ne savait pas trop repartir si elle devait s’arrêter mais par chance le jour de l’examen les 7 feux étaient verts sur le parcours donc elle n’a pas eu à s’arrêter. Et une autre personne nous expliquait que lui avait le permis aussi mais qu’il ne sentait pas encore capable de rouler dans la ville. Après on ne s’étonne pas que ça klaxonne à tout va en ville.
En revanche on nous a conseillé de ne jamais s’énerver au volant car la population locale pour beaucoup cumule plusieurs boulots et sont en permanence stressés donc peuvent très vite sortir une barre de fer de leur voiture si quelqu’un leur fait une remarque sur la route.

En temps que piéton, faites attention également car entre les voitures et les mobylettes il y en a de partout et ce n’est pas parce que vous avez commencé à traverser qu’on va vous laisser passer pour autant donc vaut mieux traverser rapidement une fois la voie libre.
Vous verrez beaucoup de chiens errants en Turquie (en plus des chats).

Nourriture

Concernant la nourriture vous pourrez y manger pour pas cher (même au restaurant) surtout dès que vous vous éloignez des coins trop touristiques. Et surtout en été, à n’importe quelle heure de la journée ou de la soirée. De même une envie de faire les boutiques de vêtements, vos courses ou de vous faire coiffer un dimanche à 22h : aucun souci ! Tout est ouvert très tard et vous trouverez beaucoup de petits commerces de partout : ce n’est pas le choix qui manque. Même dans une station service vous pourrez acheter à boire et à manger pour des tarifs équivalents à ce que vous trouveriez en ville.


Au restaurant vous aurez toujours sur la table une boite de mouchoirs, des cures-dents, et parfois un gros contenant plastique contenant du pain coupé. Par défaut la plupart du temps, ils apporteront des petites bouteilles d’eau à table qui vous seront facturés si consommées. Ils ont aussi le système de verre plastique contenant de l’eau fermée hermétiquement beaucoup servi dans la restauration rapide, dans les pâtisseries, etc.

Le service est rapide ainsi que le débarrassage des assiettes au fur et à mesure. Il faut que ça tourne pour libérer la place pour les suivants. Pensez à tenir votre assiette si vous ne voulez pas qu’on la ramasse alors que vous vouliez juste faire une pause pendant votre repas 😉 J’exagère mais à peine car c’est une situation vécue. En Turquie les repas ne s’éternisent pas comme en France : que ce soit à la maison, en étant invité chez quelqu’un ou au restaurant les gens vont manger rapidement. Ne vous étonnez pas si au restaurant on vous emmène les boissons de l’apéro en même temps que le plat ou que toute la tablée n’est pas servie en même temps.

Écologie

Autant on trouve beaucoup de panneaux solaires et de chauffe-eau solaire sur les maisons, autant en matière de tris des déchets il y a encore beaucoup de boulot. L’utilisation des panneaux solaires est avant tout économique. Le gaz et l’électricité sont des énergies chères. C’est pourquoi, tous les toits des maisons et des entreprises sont équipés de panneaux avec un serpentin et un réservoir pour produire de l’eau chaude sanitaire.

Les sacs plastiques sont encore distribués en supermarché, il y a peu de poubelle de tris et les locaux n’ont pas l’habitude du tris des déchets.

Hospitalité

Les turcs sont connus pour leur grande hospitalité. Ils vous diront toujours « Hoşgeldiniz » (Bienvenue) et seront toujours prêt à vous servir un çay (thé) dans un magasin, une administration, etc ou encore à vous aider pour trouver une solution à un problème. Au niveau des repas aussi même si ils ont peu de moyen, ils seront généreux au niveau de la nourriture. Si vous arrivez chez quelqu’un alors qu’ils passaient à table, il y aura toujours une place pour vous inviter à leur repas même si vous êtes nombreux.

Étape 5 : GrèceÉtape 5 : Grèce

Changement de pays et de fuseau horaire : 1h de plus en Grèce par rapport à l’Albanie et donc la France. Attention pensez à faire le plein d’essence et prendre vos précautions en Albanie car après le passage de la frontière il n’y a pas d’aire de repos ni de station service sur plus de 130 km d’autoroute. L’état des routes est bien mieux qu’en Albanie mais ce n’est pas transcendant non plus. Quasiment que de l’autoroute avec de nombreux péages où il faut payer de petites sommes (ex: 1,20 €), on en a profité pour écouler toute notre petite monnaie.

On choisit la ville de Kavala comme étape, appelé aussi « The Blue City » car elle est sur un rocher entourée du bleu de la mer Égée. L’appartement choisi est un appartement d’artiste décoré avec goût. Une fois la voiture garée (dans une sacrée pente) on n’y touche plus car on est à 10 min à pied du port ou du centre ville. Le stationnement à Cavala est compliqué, mieux vaut avoir une petite voiture ou une mobylette ou comme tout des hôtes très sympathiques qui nous ont laissé nous garer à la place de leur voiture. La balade sur le port de la ville est très sympathique et c’est là que le fauteuil s’est installé pour accueillir les visiteurs le temps d’une photo.

Il y a également au centre un aqueduc de 2 étages et une belle forteresse mais attention elle est fermée en soirée. La vieille ville de Kavala est très animée le soir, en plus on est tombé un jour de festival donc il y avait également des concerts animation garantie ! Beaucoup de boutiques, de bars et de restaurants et de food trucks sucrés. Par curiosité on a goûté les Kürtöskalacs (ou comment se déclencher un pic d’insuline juste en les regardant les préparer) en prenant la version la plus light possible, des boules de pâtes frits puis mis dans du sirop, des cônes avec une sorte de crème dedans. Verdict : beaucoup trop gras et sucré et non transcendant en terme de saveur.

Après une petite marche digestive et une bonne nuit de sommeil, on reprend la route direction la Turquie…

Étape 4 : AlbanieÉtape 4 : Albanie

Après avoir passé la frontière Monténégro/Albanie la circulation est toujours aussi lente (108 km en 4h20 depuis Kotor) mais ce qui nous a le plus frappé c’est le nombre impressionnant de mendiants tous les 10 min sur toutes les routes où il y a des bouchons. C’est très difficile psychologiquement car il s’agit de jeunes enfants et de femmes avec de jeunes bébés en pleine chaleur, le thermomètre affichait 36°C ! On a envie d’aider tout le monde mais ils sont tellement nombreux que ce n’est pas possible. Ils récupèrent des pièces dans des bouteilles d’eau et les ramènent à leur maman. Certains automobilistes leur donnent également à manger et à boire. Le changement avec le Monténégro est radical ne serais-ce qu’au niveau du réseau routier : on voit de suite qu’on est dans un pays plus pauvre.

Ici la monnaie est le lek (1 euro correspond à environ 103 leks). On se rend dans la capitale à Tirana. La ville est en (re)construction de partout donc beaucoup de travaux : on côtoie aisément des bâtiments de luxe à côté de très vieux bâtiments.

Le centre névralgique de Tirana est nickel que ce soit au niveau de l’état des routes ou de la propreté. Il y a beaucoup de street art et de bâtiments colorés pour faire oublier l’image d’une ville grise en lien avec leur passé d’années communistes. En revanche dès que l’on s’éloigne du centre « touristique », les routes sont pleines de trous et les ordures traînent par terre. La circulation est difficile de partout, il ne faut pas se fier au nombre de km ni au code de la route qui n’est pas du tout respecté (beaucoup doublent par la droite, se garent en double file même sur des ronds points, déboitent sans clignotant, ne laissent pas passer les piétons). Au vu de cette anarchie totale sur la route source de dangers multiples on change notre programme et on restera uniquement sur Tirana (pas de plages donc). Heureusement notre appartement est bien situé, on peut donc aller au centre de Tirana à pied.

Il y a beaucoup de petites boutiques et de petits supermarchés. La population est vraiment adorable et très aidante, ils demandent comment on va quand on entre dans une boutique par exemple. Beaucoup de petits boulots : c’est des personnes qui surveillent les parkings en place du parcmètre ou l’entrée et sortie d’un tunnel pour un musée. Cette année, les Balkans sont frappés par la canicule… Il y fait très chaud (40° même en soirée, les brumisateurs dans la ville sont les bienvenus). Il y a beaucoup de stations services (la population a un penchant fort pour les Mercedes, anciens comme nouveaux modèles).

On distingue clairement dans la ville le passé ottoman : des mosquées côtoient les églises orthodoxes. La place Skanderberg est la place principale de la capitale et celle où on a posé le fauteuil, ce qui nous a valu entre autre une rencontre très sympathique et chaleureuse avec un Albanais qui vivait en Angleterre.

On a également visité le musée Bunkart 1 qui vaut le détour (il faut compter 1h15 minimum) : c’est un musée sous-terrain dans un ancien Bunker réhabilité qui retrace l’histoire de l’Albanie et de l’homme d’état Enver Hoxha. Il y fait très frais (très appréciable en pleine journée de canicule) mais aussi très humide.

En soirée le quartier s’anime et on a pu manger dans un très bon restaurant de poissons (la gioia Tirane). Seul hic car après avoir choisi nos plats, le serveur nous a conseillé plutôt que de prendre chacun un plat de poisson qu’ils nous préparent un plat commun avec un mix de poissons et fruits de mers sans trop nous annoncer le tarif bien qu’on est dit ok si on reste dans ce qu’on avait prévu au départ. Et au final le plat qui est très beau et très bon s’est avéré très salé au niveau de la note. Mais on y a tout de même très bien mangé (donc penser à demander le prix exact si on vous propose un plat qui n’est pas à la carte).

A la sortie de Tirana, y a de beaux lieux avec point d’eau mais ils ne sont pas assez mis en valeur, c’est dommage. On a également eu une vue sur le très beau lac d’Ohrid en quittant l’Albanie pour se rendre en Grèce… Si on avait plus de temps, on serait resté pour se baigner et se rafraichir.

Étape 3 : MonténégroÉtape 3 : Monténégro

A 2 km de la frontière avant d’arriver au Monténégo, on a eu 2h de bouchons quasi à l’arrêt avec 36° à l’extérieur de 12h à 14h (heureusement on avait de quoi boire et manger). Notre forfait mobile ne couvrant pas ce pays, on a pris une eSIM Europe avec l’application Airalo. Avant de souscrire vérifiez que votre smartphone est compatible eSIM. Pour les offres, il uy a par exemple 1 Go pour 5$ pour 7 jours ou 5 Go pour 20$ pendant 30 jours. Elle nous sera utile dans d’autres pays comme l’Albanie et la Turquie.

Bien que le Monténégro soit hors UE, la monnaie utilisée est l’Euro.

Kotor

Nous avons logés à Kotor dans appartement avec vue sur la belle baie de Kotor. La plage à 2 min à pied était bétonné et à flan de falaise : il y avait peu de places donc les gens sont très serrés les uns aux autres, l’eau était claire mais avec beaucoup d’algues. On ne s’y est baigné que le temps de se rafraîchir avec la route et surtout pour admirer le beau paysage avec les montagnes tout autour.

En soirée, on est allé visiter la vieille ville de Kotor. Une très belle vieille ville, avec une ambiance typée avec des musiciens. Il y a de nombreux touristes mais les ruelles ne sont pas bondées donc on peut se balader tranquillement. La vieille ville étant fortifié, il existe de nombreuses portes pour y accéder (au niveau du port et une côté ville). Kotor c’est la ville des chats. Il y en a de partout : des chats, des chatons, il y a même un distributeur de croquettes et d’eau mis à disposition par la municipalité et des magasins de décos et souvenirs dédiés aux chats. La vieille ville regorge de bars, restaurants, glaciers, magasins de souvenirs : le tout en déambulant de jolies ruelles. Il y règne un sentiment de sécurité et de dolce vita à l’italienne.

Le Gyros est un plat de restauration rapide dérivé du kebab qu’on peut connaitre. De la viande de poulet, avec des frites et plein de sauces dans un pain pita.

Une boucherie (Steak barbecue House Tanjga) proposait aussi un concept original : on choisit sa viande sur l’étal et ils la font cuire au barbecue et on peut emporter le plat. On ne l’a pas testé car il y avait vraiment beaucoup de monde.

Question parking on s’est garé sur un parking maritime. La barrière était ouverte et à priori donc gratuit mais un monsieur à l’entrée du parking demandait 2 euros pour le paiement du parking pour la soirée. Il s’est avéré à notre retour qu’il n’était plus là ainsi que le lendemain donc il avait juste trouvé le bon filon pour se faire un peu d’argent avec les touristes. Pour les amateurs de café devant ce parking il y a un distributeur de café automatique Lavazza plutôt très bon. Juste avant ce parking il y a un autre parking payant et surveillé avec une personne qui gère la barrière.

Situé sur la colline qui surplombe la ville de Kotor, il y a le fort Saint-Jean (il est possible d’y monter avec 1350 marches, vu la chaleur, j’avoue qu’on n’a pas tenté).

En nous rendant à Perast le lendemain, lors d’une pause spot, une belle rencontre fortuite avec un jeune couple de français (il n’y en a pas beaucoup au Monténégro) qui s’apprêtait à faire du kayak. Ils faisaient également un roadtrip donc on a échangé sur nos destinations respectives et les lieux qui nous ont marqués. Ils ont bien évidemment pris la pose sur le fauteuil.

Perast

Une belle découverte que ce joli petit village de Perast proche de Kotor (25 min en voiture). Par contre le stationnement gratuit est compliqué car les places sont peu nombreuses (on est arrivé là-bas à 10h30). De jolies petites ruelles où se perdre, et on a réussi à trouver une très belle crique où se baigner (possibilité d’y accéder via le restaurant « Pirate Bar » situé vers un parking payant) : juste après les transats privés du restaurant.
Belle balade sur le port ensuite. Par contre, on a été déçu du restaurant Orak Bronza Konoba qui nous ont fait attendre 30 minutes pour 4 frites à emporter à peine cuite (au lieu des 10 min). Le serveur n’était pas très sympa et nos frites étaient prêtes depuis longtemps mais ils nous ont soi-disant « oubliés » alors qu’ils sont passés devant nous de nombreuses fois en voyant qu’on attendait en pleine chaleur.

Après avoir faire le plein de burek à la pomme de terre et au fromage dans la boulangerie en bas de notre appartement (pour les bonnes viennoiseries, on attendra le retour en France), on reprend la route (ça roulait au pas jusqu’à la frontière) direction l’Albanie …

Étape 2 : CroatieÉtape 2 : Croatie

La Croatie est en train de passer à l’euro, ils sont en phase de transition avec les kunas et les euros en parallèle donc on a pu tout payer en euros sans avoir de change de monnaie à faire.

Pour notre étape en Croatie, on a choisi la baie de Slano. Elle est proche de Dubrovnik (à 40 min en voiture) mais loin de la foule de touristes. Il doit y avoir 500 habitants et les touristes avec 2 grands hôtels et beaucoup d’appartement à louer. C’est une baie magnifique avec un port et des plages avec une eau cristalline. On a trouvé plusieurs petites criques où on se retrouve seul au monde : un véritable coup de coeur que la baie de Slano !

On était dans un appartement à 2 min à pied de la mer en haut d’une petite colline donc très pratique. Les plages sont faites de petits graviers blancs, ce qui rend l’eau turquoise (prévoir néanmoins les aquashoes pour les oursins). Des canards se promenaient tranquillement sur la plage, beaucoup de chats errants également. Les douches sont gratuites et un système de cabine ultra simple et pourtant très pratique pour se changer sur la plage (ce système est mis en place sur les plages de la Croatie, dommage qu’il ne se démocratise pas dans d’autres pays). La baie de Slano est très familiale, le soir on peut se balader au calme sur le port : un vrai plaisir. De plus il y a une pizzeria et de bons restaurants de poissons. Les touristes ont volontiers posé sur le fauteuil, c’est l’avantage des lieux calmes loin du tourisme de masse.

On quitte ce petit coin de paradis pour continuer notre route vers le Monténégro…

Étape 1 : SlovénieÉtape 1 : Slovénie

En Slovénie, il faut penser à acheter la vignette obligatoire pour rouler sur l’autoroute et les voies rapides. Elles sont disponibles en Italie dans les dernières stations services avant Trieste. Arrivée en Slovénie à Divača après 13h30 de route (pauses rapides incluses). L’appartement est vraiment super, tout neuf et très bien équipé avec un parking sous-terrain privé. A 30 min en voiture des villes historiques. Pour 4 on a payé 103 euros la nuit.

La Slovénie est un pays qui est très propre, il y a beaucoup de poubelles de tris. Les gens sont très respectueux aussi bien sur les routes que dans les rues. En une trentaine d’année, la pays s’est bien modernisé. Vous trouverez beaucoup de supermarchés Eurospin qui ressemblent aux supermarchés Lidl.

Au niveau d’un spot avec vue sur la charmante ville d’Izola, on a fait la rencontre de 6 jeunes français qui participaient au rallye de Budapest. Ils nous ont expliqué que pour ce rallye, ils participaient à des énigmes et des challenges dans les différents pays qu’ils traversaient pour remporter des points mais que le jour d’arrivée n’avaient pas d’importance dans le classement, ce qui leur permettait de prendre le temps de s’arrêter visiter des lieux et tout comme nous de faire de riches rencontres. Ils ont posés sur le fauteuil, ce qui leur a permis de gagner des points. On a su par la suite qu’ils sont arrivés 4ème au classement.

Nous sommes ensuite allé visiter la ville de Piran. Pour se rendre au cœur de cette ville pittoresque, il faut se garer à l’extérieur de la cité, où un parking souterrain est disponible au tarif de 2,70 euros par heure. Des navettes circulent ensuite gratuitement jusqu’au centre de Piran. Juste avant la grande place principale, on a mangé une glace vraiment délicieuse (une des meilleures de notre vie qui égalent de très bonnes glaces d’Italie) à la Pasticceria Slascicarna 1963.

En déambulant dans les ruelles pavées de Piran, on est très vite conquis par son atmosphère médiévale et ses bâtiments aux influences vénitiennes. De la ville on a une vue imprenable sur la mer Adriatique, et il y a plusieurs toutes petites plages de galet à l’eau cristalline. Ne faites pas la même erreur que nous, pensez à prendre vos maillots de bain avec vous pour alterner ballade et baignade car le soleil tape fort.

Après avoir récupéré les maillots de bain on est allé se rafraîchir à Izola à la plage Svetilnik Beach. On s’est garé au parking du port (2,70 € de l’heure). C’est une plage de galet (prévoir les aqua shoes). Il y a du monde sur la plage, l’eau est chaude et clair mais des algues sont présentes dans l’eau. La douche est payante (50 centimes d’euros pour l’achat d’un jeton qui permet d’avoir environ 45 secondes d’eau)

La baignade ça creuse donc on est dans un grand salon de thé sur le port (Pri Ekremu) qui propose des glaces et pâtisseries avec une terrasse extérieur. Le hasard faisant bien les choses, il s’est avéré que c’était leur tout premier jour d’ouverture et on comptait donc parmi leurs premiers clients. Il s’agit d’une famille originaire des ottomans de Macédoine, installée en Slovénie depuis plusieurs années. Ils ont accepté de poser aussi sur le fauteuil le temps de quelques photos.

Le fauteuil c’est aussi ça : l’occasion d’expliquer le concept et d’entamer de belles discussions avec des inconnus.

Prochaine étape : l’aventure continue en Croatie …

Les photos sur le fauteuil à Piran

Les photos sur le fauteuil à Izola à la patisserie Pri Ekremu

Road Trip été 2023Road Trip été 2023

Le voyage du fauteuil c’est aussi embarquer toute la famille dans l’aventure. Pour le roadtrip de l’été 2023, c’est donc accompagné de ma femme, notre fille de 18 ans et notre garçon de 16 ans qu’on décide de faire un roadtrip d’un mois.

Autant vous dire que faire tenir les bagages avec le fauteuil dans une Volkswagen break sans coffre de toit c’est une aventure en soi. Le fauteuil est volumineux, les 4 pieds ont donc été démontés pour pouvoir caler les valises. Prendre une photo en chemin avant d’avoir poser les valises dans un appartement car la vue est belle ou le coin magnifique ? Pas de souci il suffit de sortir les valises puis armé de ma visseuse électrique de remonter les 4 vis de chaque pieds, sortir le diable pour transporter le fauteuil si pas de parking à proximité, prendre la photo puis refaire l’inverse. Quand il fait 36 degrés c’est chaud dans tous les sens du terme 😉 .

Départ du beaujolais à la mi-juillet avec une étape en Slovénie, en Croatie, au Montenegro, en Albanie, en Grèce, puis en Turquie. Déjà 4450 km de fait, il faudra encore prévoir le retour dont le trajet et les étapes ne sont pas encore défini. Les nuitées dans des appartements sont réservées via Booking et AirBnb au fil de l’eau car tout dépend du trafic, des imprévus et des éventuelles pannes.

En Italie par exemple il y avait un fort ralentissement du trafic dû aux fameux « lavori » (les travaux). Sans parler de 2 accidents qui nous ont bloqué totalement sur l’autoroute 2h avec 42° C à l’extérieur donc il faut toujours prévoir en road trip de l’eau fraîche et de quoi se nourrir. Le fait de louer des appartements avec un combiné réfrigérateur/congélateur pour avoir toujours des boissons fraiches avec nous pour les trajets et remettre les pains de glace au frais a été bien pratique. Tout comme le fait de choisir des appartements avec un parking sur place et la climatisation (indispensable avec ces chaleurs).
Après 13h30 de route (pauses rapides comprises) nous voilà arrivé à notre première étape : la Slovénie.

Le VOYAGE DU FAUTEUIL !Le VOYAGE DU FAUTEUIL !

Bienvenue à tous ! Êtes vous prêt à voyager avec le fauteuil de QuenT. ?

Je suis artiste photographe et je voyage avec mon fauteuil afin de rencontrer des personnes et échanger avec eux le temps d’une photo. Dès que je trouve un lieu qui me sourit, je pose mon fauteuil et j’invite les gens à s’installer dessus comme elles ont en envie, selon leur humeur et leur inspiration du moment.
Le voyage a commencé dans la région lyonnaise, puis s’est poursuivi dans toute le France et l’Europe… Depuis août 2015, mon fauteuil a parcouru plus de 30 000 km et a rencontré plus de 4 000 personnes et personnalités.

J’ai posé mon fauteuil sur les places de grandes capitales européennes, devant des monuments incontournables ou simplement dans des lieux non touristiques mais plein de charmes. Je continue à parcourir les routes de France ou d’ailleurs afin de rencontrer de nouveaux sourires et poursuivre ces temps d’échanges courts mais enrichissants.
Si vous voulez voyager avec le fauteuil et pourquoi pas prendre la pose le temps d’une photo, alors suivez-le sur les réseaux sociaux (Facebook, Instagram et Twitter).

Au plaisir de vous rencontrer !

QuenT. (avec un Q, car il en faut parfois)